Biographie d'Hubert Lenoir

Bonjour je m’appelle Noémie, je suis la meilleure amie d’Hubert, et ce, depuis toujours, et j’ai pensé que ceci pouvait vous intéresser ;

Hubert [Lenoir] est un chanteur, compositeur, producer, acteur, promeneur de chien et fleuriste qu’on aime qualifier de polarisant par chez nous ~ et par chez vous bientôt ;-) ~, peut-être parce qu’il refuse les étiquettes, qu’il préfère évoluer au-delà des codes, qu’il danse de façon très suggestive, ou peut-être, tout simplement, parce qu’il fait les choses à sa façon et qu’il s’en crisse un peu dans le fond (il s’en bat les cou**lles - he doesn’t give a sh****t -  parle à sa main LOLOLOLOL) oh! peut-être aussi qu’ils aiment pas trop sa tronche de cake mais pourtant il chante super bien et il a de beaux grands yeux verts et jamais rien de pris entre les dents… entk.

Hubert est né en 1994 dans une maison à pallier bleue en banlieue de la ville de Québec, à quelques pas de chez moi. On est allés au même camp d’été et on a perdu notre temps dans la même cour d’école de soir et il savait j’étais qui, mais pas moi, et ça décris plutôt bien, je trouve, le genre de personne qu’il était, assis sur le trottoir et silencieux, drôle, mais à demi-mot, différent, blême, gêné, impoli, mais vraiment vraiment gentil. Il a grandi comme moi avec l’internet (myspace – YouTube – www.sex.com - LimeWire – miniclip – MSN), la télévision câblée, la radio top40 et on aimait ça. Vers l’âge de 16 ans Hubert a découvert Prince, Brian Eno, Elton John grâce au père d’un de ses amis qui collectionnait des vinyles. La musique est devenue sa déesse, sa religion, alors il a appris à jouer de la guitare et il s’est mis à composer de la musique, c’était pas tant le best au début, mais là c’est rendu fucked up bon (no cap la moi de 15 ans downloaderais ça big time sur LimeWire) je pense qu’il est un hitmakingmachine?

En 2018 on a sorti ensemble un projet multidisciplinaire (mon roman, son album et des illustrations), ça s’appelle Darlène et c’était un opéra postmoderne. L’album a eu des critiques pas de bon sens dans le bon sens et un succès mainstream qui aura propulsé Hubert sur des couvertures de journaux, sur des scènes de salles de spectacle et de festivals partout au Canada, et partout en Europe. Ils l’appelaient par tous les noms, d’« enfant terrible » à « cauchemar » à cause de ses apparitions publiques et ses prestations scéniques subversives ;-) ça lui aura attiré éloges et controverses, mais surtout ça lui aura donné l’expérience et la sérénité dont il avait besoin pour devenir une figure de contreculture et un exemple pour tous les freaks de ce monde. Rester fidèle à soi-même aura été payant en fin de compte, la preuve ; 

L’album Darlène s’est frayé un chemin sur la courte liste du Polaris Music Prize, le premier album majoritairement francophone à s’y retrouver en 8 ans. Il a aussi réussi l’exploit d’être classé par le magazine Exclaim! comme l’un des 50 meilleurs albums canadiens de la décennie, aux côtés de Drake, the Weeknd et Arcade Fire : encore une fois le seul album francophone de la sélection. Hubert a été récipiendaire de 5 Félix et 6 nominations au Juno Awards. Il reçoit des éloges autant par la presse francophone qu’anglophone partout dans le monde, phénomène plutôt rare pour un artiste québécois qui chante quasi-exclusivement en français. Le magazine américain FADER l’a même décrit comme étant « a pop star in any language  » ;-)) 

Depuis plus d’un an, Hubert est en mode discrétion ; il passe le plus clair de son temps à écouter la musique des autres, à faire des commissions, à boire du café et écouter la télévision. Il trouve aussi le temps de collaborer comme réalisateur avec Robert Robert et Élégie, en plus d’avoir décroché un rôle dans un long-métrage en anglais intitulé Like a House on Fire (2021) aux côtés de l’actrice Sarah Sutherland, et d’avoir interprété la voix de Pugsley en français pour le dernier film de La famille Addams (2019).

On en sait que très peu sur ce qui est à venir pour Hubert (en fait moi je sais toute sauf que je peux pas dire, mais %$(%*@! c’est capoté), toutefois on sait de source sûr qu’il accumule depuis trois ans des milliers d’heures de travail entre Los Angeles, Tokyo, Laval et la ville de Québec, pour une œuvre extrêmement personnelle, un portrait musical de lui-même, preuves à l’appui.

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