Biographie de Basia Bulat

Basia Bulat s’est forgée une place comme l’un des talents canadiens à surveiller. Depuis la sortie de son premier album en 2007, Bulat a partagé la scène avec de nombreux artistes tels qu’Arcade Fire, The National, Nick Cave, Daniel Lanois, St Vincent, Sufjan Stevens, Beirut, Destroyer, Tune-Yards, The Tallest Man On Earth, et Andrew Bird.

Elle se présente souvent seule sur de gigantesques scènes, charmant la foule avec une autoharpe, un charango, des battements de pieds et de puissants poumons. Mais son énorme talent a également suscité la reconnaissance qu’il mérite: ses chansons ont été adaptées pour d’uniques performances accompagnés d’orchestres symphoniques et elle a été invitée à prendre part à divers hommages dont ceux de Leonard Cohen et The Band. 

Basia Bulat est née à Toronto. Elle a grandi en écoutant sa mère donner des cours de piano et la musique de Sam Cooke et de Stax sur les stations rétro. En vieillissant, elle admire Odetta, Stevie Nicks, Sandy Denny et Abner Jay. Malgré qu’elle se soit fait un nom sur la scène indie-folk ontarienne, en se liant d’amitié aux membres d’Ohbijou, Timber Timbre et Great Lake Swimmers, ses trois premiers albums ont été enregistrés à Montréal. Les deux premiers, Oh My Darling (2007) et Heart Of My Own (2010) ont été réalisé par Howard Bilerman, un ingénieur mieux connu à l’époque pour ses albums de punk-rock, alors que le troisième, Tall Tall Shadow (2013), en lice aux Juno et pour le Polaris, a été réalisé par Mark Lawson (The Unicorns, Akron/Family) et Tim Kingsbury d’Arcade Fire. 

Basia vit à Montréal depuis 2014, son quatrième album, Good Advice, paru en 2016, a été réalisé par Jim James (My Morning Jacket).

La La Lie (extrait)

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