Ce huitième album de chansons originales - son 16e au total - célèbre les femmes, inépuisable source d’inspiration. Il évoque la renaissance, le désir, la célébrité, la paternité, l’espoir, les conflits. Chantant l’amour et ses peines, Éric Lapointe s’approprie chacun des titres, les siens comme ceux des amis auteurs et compositeurs, avec la sincérité et la ferveur qu’on lui connaît. La réalisation de cet album a été confiée à Stéphane Dufour.
Deux reprises complètent Délivrance : L’envie de Jean-Jacques Goldman, popularisée par Johnny Hallyday dont Éric dit qu’il n’aurait pas osé la reprendre de son vivant. «L’envie était la vie et la réalité de Johnny. C’est en quelque sorte mon hommage»; et l’immortelle Le p’tit bonheur du grand Félix Leclerc, qu’Éric chante à ses deux fils chaque soir pour les endormir. «Quand je leur ai dit que je la mettrais sur l’album, leur sourire valait des millions…»
Délivrance comporte deux chansons interprétées en duo avec des candidats de l’équipe du coach Lapointe : La guerre a perdu avec Noémie Lafortune (La Voix 6) et La Bête avec Travis Cormier (La Voix 4).
Belle folie (extrait)
La chanson La nuit ouvre Délivrance. Elle est portée par un rock puissant et met en route l’album qui se termine par l’intimiste Sans vous. Ce texte vibrant de Luc De Larochellière, livré piano voix et mis en musique par Claude Pineault et Éric Lapointe, est dédié aux deux fils du rocker «sans qui je serais passé à côté de ma vie». Délivrance démontre la polyvalence et la profondeur de cet artiste incomparable, un homme qui assume sa part de fragilité et ses démons, un homme mûr, lucide mais indomptable.
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La pochette reproduit J’ai le Nord sur pause, une œuvre de Marie-Josée Roy, artiste originaire de Trois-Rivières pour laquelle Éric a eu un véritable coup de cœur et qui orne maintenant les murs de son salon.

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