Mieux s’y voir se démarque par sa poésie franche et colorée, sur des arrangements libres de toutes contraintes. L'album aborde la thématique du changement : changer le plan initial qu'on s'était donné et emprunter une nouvelle voie pour y trouver le bonheur.
Catherine Dagenais est fière de signer la coréalisation de l’album avec Sacha Daoud : Je me rends compte qu'il manque tellement de femmes en musique pour faire cet aspect de la profession, et c'est vraiment une direction vers laquelle j’ai envie de me diriger dans le futur. Sacha est exactement la bonne personne pour m'apprendre les rouages et me guider dans ce nouvel apprentissage. Avec son bagage, notamment au sein du groupe Chic Gamine, Sacha prête une oreille attentive aux détails, ce qui rend les chansons uniques.
L’album ouvre sur la pièce Dégriser, le plus récent extrait envoyé aux radios. Ode à la liberté, la chanson aborde le thème de la dépendance et de se choisir avant tout. Catherine Dagenais relate ensuite la vie de deux personnes âgées dans le texte L’or et le plomb, un couple qui s’est aimé si fort et qui fait aujourd’hui face à l’oubli du passé à cause de l'Alzheimer.
La pièce-titre, Mieux s’y voir, représente l’essence même du disque, ce changement qui peut être bénéfique. C'est une grande déclaration d'amour pour quelqu'un, mais aussi pour soi-même, explique Catherine.
Les chansons Passe par ma fenêtre et L’aiguille qui rapièce portent toutes deux sur le réconfort. La première décrit un endroit apaisant où tout est possible, tandis que l’autre met en scène une mamie qui console ceux qu’elle a laissés derrière.
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Dégriser (extrait)
Compter ce qui manque (extrait)
Mieux s'y voir (extrait)
Passe par ma fenêtre (extrait)
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