15 mai 2020

Catherine Major présente Carte mère

Pour son cinquième album, Catherine Major a décidé d’explorer de nouveaux territoires musicaux et artistiques. Troquant les touches de son piano pour celles d’un clavier d’ordinateur, elle signe les musiques, la programmation, les arrangements et la réalisation du bien nommé Carte mère, un opus électro-orchestral élaboré patiemment qui révèle des facettes insoupçonnées de son talent.

J’avais envie de faire les choses différemment, explique Catherine Major. Pour la toute première fois, j’ai composé les musiques et les mélodies des chansons à partir de séquences rythmiques qui m’inspiraient et que j’ai modifiées. J’ai par la suite ajouté les pistes une à une, en me laissant guider par mon instinct.

Avec l’appui d’Antoine Gratton, l’autrice-compositrice-interprète a également réalisé d’envoûtants arrangements de cordes interprétés par le Bratislava Symphony Orchestra, sous la direction de David Hernando Rico, question d’ajouter de la chaleur aux sonorités électroniques et de créer des liens orchestraux entre les pièces.

Catherine Major

Dès les premières mesures de Bateau bleu, une fabuleuse ode à la maternité, le ton est donné et la curiosité, piquée : les échantillonnages inventifs, les nappes de clavier et les somptueuses cordes s’unissent à la voix nuancée de l’artiste pour former un tout riche et foisonnant, à mi-chemin entre modernité et classicisme. On reconnaît Catherine Major et on la redécouvre tout à la fois. L’impression se confirme avec La bouteille, un enivrant crescendo où les vers finement ciselés dansent habilement sur la musique.

Les textes sont de Jeff Moran, qui a mis sa plume poétique et évocatrice au service des mélodies recherchées imaginées par sa compagne de vie. Seule exception : Tableau glacé, un vibrant hommage écrit et composé par Catherine Major pour son amie Lucie, sa luciole, qui a succombé à un cancer.

À l’instar des sonorités, les thèmes abordés sont résolument actuels. Il est question des dérives du pouvoir, qu’il soit religieux, politique ou économique, sur Moi non plus, d’angoisses enfouies sur La panique, une incursion réussie dans l’électro-dance, et Claustrophobe, lente et oppressante, ou encore de la liberté à géométrie variable sur L’espace occupé, qui rappelle que « la foi n’a pas besoin d’une loi / pour dire ce qui est bon moi / le monde est une immense croix / portée par la peur des hommes ».

En cette période d’incertitude, Carte mère nous invite à revenir à l’essentiel, comme en témoignent Ma sœur, un hymne à la famille et au temps qui passe soulevé par des chœurs amples et lumineux, et la sensuelle et prenante Unique survivant, en clôture d’album, où l’amour se dresse comme l’ultime rempart contre les menaces du monde extérieur.

L'album est disponible en format numérique dès aujourd'hui.

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