PREMIERS ÉLOGES POUR PISSENLIT
« Il est très difficile de ne pas succomber à ce rock hanté psalmodié par une voix qui semble être revenue de tout. Ça secoue. » - Libération (Playlist)
« Pissenlit, d’Antoine Corriveau fait, pour nous, partie des très grands albums de cette année. Il se place [...] dans le top 3, si ce n’est à la place de l’album de l’année. Le talent d’écriture du musicien est saisissant, d’une force peu commune. Il met ses tripes sur la table, c’est profond, touchant, émouvant. On en ressort à la fois épatés et essoufflés, terrassés et dans un état second, comme touchés par la grâce. Mais il s’agit en fait d’un tout, harmonieux, qui se lie entre paroles, qualité du son, expérimentations musicales, arrangements originaux, voix puissante qui est aussi bien capable de quitter ce registre rauque pour des montées dans les aigus puissantes. » - Litzic
« Ce sera assurément l’un des albums marquants de la scène locale cet automne, possiblement son meilleur à date. » - Sors-tu.ca
«Dès le premier titre, l’auteur-compositeur-interprète québécois donne le ton et nous surprend par ses nouvelles chansons lumineuses et dynamiques, tranchant partiellement avec ses productions passées. » - Francofans
« Déjà, les premières notes mises en avant le montrent renouvelé et ambitieux, alors qu’il y nourrira une réflexion personnelle sur le territoire. » - Le Devoir
« Sur Albany, les synthétiseurs sonnent bien, la distorsion est constante alors que la section rythmique prend les choses en main. Évidemment, la plume toujours adroite de Corriveau est au rendez-vous. On y retrouve une road-poésie qui colle à merveille à la trame musicale. » - Le Canal Auditif
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La graine de PISSENLIT, son quatrième album en carrière a ainsi été plantée au bout de la route 138 pendant une résidence d’écriture à Natashquan. J’y suis monté tout seul. Traverser le Québec du sud au nord a provoqué chez lui une réflexion sur le territoire. Ces thèmes du mouvement et de son contraire, l’enracinement, sont devenus une manière de parler de moi à travers le regard que je porte sur le territoire québécois, sur la manière dont il est habité, la manière dont on l’a aménagé au fil du temps et des générations.
PISSENLIT est moins une rupture dans le son d’Antoine Corriveau que son excroissance presque punk, angulaire et imprévisible, soulagée des orchestrations de cordes et de cuivres qui le suivaient depuis Les Ombres Longues, paru en 2014. Libéré même, en partie du moins – on ne se refait qu’à moitié! – du spleen caractéristique du bonhomme, qui laisse presque pointer de l’humour, sinon le plaisir d’offrir des chansons spontanées, vivantes, parfois espiègles.
Antoine Corriveau est un artiste à part entière. Débarqué dans le paysage québécois en 2011, c’est en 2014 qu’il marque l’imaginaire avec l’encensé Les Ombres Longues, pour lequel il rafle, par vote du public, le Prix de la chanson SOCAN avec sa pièce Le nouveau vocabulaire. Cette Chose qui cognait au creux de sa poitrine sans vouloir s’arrêter paraît en octobre 2016, et récolte notamment 4 nominations au Gala de l'ADISQ, il figure sur la longue liste du Prix de musique Polaris 2017, se retrouve dans les dix finalistes du Prix Félix Leclerc – et remporte le Prix André « Dédé » Fortin pour l’émergence au Gala de la SPACQ en plus de celui de l’album indie rock de l’année au Gala des GAMIQ 2017.
Manifestement la réputation de l’artiste n’est plus à faire. Et si la proposition peut paraître, a priori, nichée, le marché de la grande francophonie suit déjà de près la carrière de Corriveau. À ce titre, soulignons d’ailleurs qu’il figurait parmi les cinq nouvelles voix à surveiller dans Le Point (France) : On le compare souvent à Bashung. Il est vrai que leurs voix, leurs écritures, leurs allures ne sont pas tout à fait étrangères. Le EP Feu de forêt paraît sur étiquette Secret City Records en novembre 2019, enchante les critiques en plus de gagner dans la catégorie EP Folk de l’année au GAMIQ 2019. Il récolte quatre étoiles dans La Presse et que des éloges en France et aux États-Unis: Il demeure, plus que jamais, un authentique trésor. Trésor qu’on a le privilège de côtoyer de son vivant.[...] (Tsugi), un rock enivrant et cinématographique (Brooklyn Vegan).
Regardez le vidéoclip pour la pièce Albany.
Regardez le lyric vidéo pour la pièce Quelqu’un.
AntoineCorriveau.com
Téléchargement: Pochette (jpg) • Photo (jpg) Crédit : Le Petit Russe
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