26 mars 2021

L'artiste folk Nolton Lake dévoile aujourd'hui l'album Pink Lights

Version anglaise

Musicien autodidacte, avec un goût prononcé pour la musique organique et chaleureuse, Nolton Lake fusionne musique folk et musique du monde, créant un univers inspirant et calme. Fortement influencé par Harry Manx – qui mélange le blues et la musique indienne d’une manière simplement délicieuse – Xavier Rudd et Gregory Alan Isakov, Nolton Lake est une véritable boule de création. Fort de ses voyages à travers le globe, et fasciné par les maîtres sitaristes indiens, il recherche la pureté dans la poésie. Quand on s’attarde un peu, on découvre une force sensible, une familiarité exotique, un confort juste assez déstabilisant.

Nolton Lake nous dévoile les inspirations des chansons de Pink Lights :

Peace After War a été écrite à la suite d'un moment bien particulier qui n’a duré que quelques secondes, mais qui s’est fait sentir comme une éternité pour l'auteur-compositeur et interprète, marquant son âme à jamais. Il décrit une scène, une femme, une inspiration : Elle était claire, entourée d’une lumière rose, et elle me souriait en me regardant. Les autres étaient tous flous autour, je ne voyais qu’elle. Ce moment-là, pour moi, était un des moments les plus forts que j’ai vécu de ma vie. Une seconde est parfois plus longue qu’une éternité.

Quand j’ai écrit Dreamers, j’étais assis dans les rochers, sur le bord du Gange, en Inde, dans la ville iconique de Rishikesh, où les Beatles avaient fait leur retraite méditative controversée. C’est une ville magnifique avec des lueurs bleues et turquoises dans l’eau. C’est littéralement le lieu d’origine du yoga, explique l’artiste. Inspiré par l’écart entre les gens, qui crée tant de haine, tant de pollution et tant de problèmes, il rêve à un monde moderne, rempli de rêveurs, et qu’ensemble, nous pouvons changer le monde.

Lancée le mois dernier, la pièce Lake Champlain évoque une série de questions laissées sans réponses. Assis sur les rives américaines du lac Champlain, Nolton Lake s’interroge sur les humains qui s’amusent, perchés au-dessus d’un autre monde, que l’on ignore. Le désir d’en savoir davantage sur le monde qui nous entoure est comme l’eau du lac : nous voyons quelque peu en profondeur, puis le reste, on y est aveugle.

Now I Know aborde la maladie mentale, l’espèce d’incompréhension que pourrait ressentir une personne victime de ce type de maladie. Ça dit rien et ça dit tout en même temps, c’est confus, c’est pas clair, ça se passe dans tous les sens, toutes les directions. C’est naviguer à travers la vie en cercles, explique Nolton Lake.

Amoureux fou de l’Inde, Nolton Lake décrit dans Sea Of Mangoes un sentiment de bonheur, de liberté qui lui rappelle ce pays où il a passé plusieurs mois. Si je meurs demain, j’aimerais bien manger une mangue de l’Inde. C’est une des meilleures choses qui aura touché mes lèvres. J’ai beaucoup voyagé dans ma vie, j’ai beaucoup marché, mais ce pays a toujours su me garder fou. Fou du désir de voir le monde, fou dans ma créativité. De plus, mon sitar indien vient de là, évidemment.

Nolton Lake

 

Peace After War (extrait)

 

Sea Of Mangoes (extrait)

 

Unification (extrait)

 

The Man That Goes Too Far (extrait)

 

Over The Mountains (extrait)

L’instrumentale Unification est une métaphore musicale. On mélange les rythmes latins et africains en percussions, la guitare acoustique occidentale, du didgeridoo australien et, évidemment, le sitar indien. Le désir d’unification des gens, de toutes les ethnies, religions, orientations… peu importe qui un être humain décide d’être, cet être humain mérite de faire partie d’un tout en symbiose, comme chaque instrument de cette chanson.

 

Nolton Lake

Bowl Half Full représente un moment d’arrêt complet. Un moment pour respirer. Les sons du magnifique instrument appelé bol tibétain permettent de relaxer, tandis que le mantra chanté nous oblige à déconnecter.

Out To Sea expose le départ d’un marin vers la haute mer, à l’époque où les voyages duraient des mois, voire des années. L’image du marin peut se refléter à plusieurs situations de la vie, il faut parfois partir, même si ce n’est pas facile. Le marin répète sans cesse son discours, ça fera mal, mais il doit y aller.

En toute légèreté, The Man That Goes Too Far dit ce qu’elle a à dire. La chanson porte sur cet homme qui va toujours trop loin dans ses propos, qui a tendance à donner son opinion là où ce n’est pas nécessaire. On comprend que, si on prenait le temps de lui tendre la main, on le comprendrait mieux.

La montagne représente les barrières et les limites, autant physiques que mentales, que l’on se met ou que l’on se fait mettre, et qui séparent les êtres humains les uns des autres. Over the Mountain rappelle qu’il faut parfois surmonter une montagne pour aller simplement rejoindre quelqu’un que l’on aime.

La dernière pièce de l’album reprend l’arrêt dans le temps, l’image de la même demoiselle illuminée par une lumière rosée, alors que tous les autres autour d’elle sont flous, inspirée de la pièce qui ouvre l’opus. Nous étions dans un parc, au soleil lors d’une journée de congé, aucun stress ni négatif à l’horizon. Elle lisait, je lui faisais une bande sonore. La vie est remplie d’imprévus, elle est pleine d’accrochages et de moments plus difficiles. Des fois, il faut s’arrêter, vraiment s’arrêter, et regarder autour de nous, et réaliser qu’ici, maintenant, nous sommes bien, en sécurité, et heureux. Sometimes, we’re Safe Here Now.

L’album Pink Lights sera disponible dès demain sur toutes les plateformes.

À propos
C’est dans l’humidité qui émane de la jungle asiatique que Nolton Lake découvre ses premières notes de musique, entouré par des gens et une culture qui allaient devenir une des couleurs de sa palette créative. Il a grandi au Vietnam, mais c’est le temps passé en Inde qui a le plus profondément marqué l’auteur-compositeur-interprète, qui vit maintenant à Montréal. Entre les chansons acoustiques et les rythmes éclatés des musiques du monde, on peut entendre des instruments de tous les continents et l’écho d’une voix qui nous chante que nous partageons tous le même amour.

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Téléchargement : Pochette (jpg)Photo de presse (jpg) Crédit: Bianca Des Jardins

 
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