En concert ce printemps
Pissenlit disponible dès maintenant
fff – Télérama ★★★★1⁄2 – Journal de Montréal 8,5/10 – Le Canal Auditif ★★★★ – La Presse
C’est aujourd’hui qu’Antoine Corriveau dévoile la suite du documentaire à propos de son plus récent album encensé par la critique ici et en France, PISSENLIT. Dans ce film réalisé par Antoine Bordeleau, le duo discute de l’après-coup de la sortie du disque lors d’une balade en voiture qui les mène jusqu’au bas du Fleuve Saint-Laurent.
Antoine Bordeleau : Penses-tu que le disque, comme objet physique, a encore sa place ?
Antoine Corriveau : Moi je fais des disques en pensant à faire un disque. Je trouve ça plate sinon, c’est plate faire juste des tounes, des singles… Il faut que tu vois la toune comme une des clés d’un tout qui te donne quelque chose, pis si tu prends juste une clé, ben… Tu peux juste ouvrir une porte et […] l’expérience est incomplète.
Écoutez l’album PISSENLIT en cliquant ici.
Antoine annonce également quelques concerts au Québec là où les restrictions sanitaires le permettent, voir ci-dessous.
Éloges pour l’album PISSENLIT
« Pissenlit donne le sentiment d’entrer dans un bazar qui carbure à la chaleur humaine. C’est foutraque, entraînant et diablement revigorant [...] » fff - Télérama
« Pissenlit se révèle ainsi un disque bigarré bien qu’à l’enveloppe ostensiblement rock. Un disque de lâcher-prise à la richesse prégnante […]. Antoine excelle dans toutes les matières. Une dynamique qui ne néglige pas l’éclat de l’écriture et la force du propos entre intimité et veine sociale. Le tout participe à l’élévation d’une beauté détonante qui retentit comme une formidable arme de consolation contre la glaciale laideur de cette période. » - Libération (France)
« Pissenlit démontre à merveille cette propension de Corriveau à évoluer, voire se réinventer [...] Les nostalgiques de This Is Hardcore de Pulp, voire du fameux OK Computer de Radiohead pourraient, en effet, trouver des atomes crochus entre ces œuvres cultes et Pissenlit. [...] Pissenlit qu’on risque de retrouver sur bon nombre de palmarès de fin d’année. » ★★★★1⁄2 - André Péloquin, Le Journal de Montréal (Québec)
« On a fait avec Antoine Corriveau, à travers la fulgurance de ses textes et la recherche de sa musique, un voyage en très bonne compagnie, mais aussi […] il nous a rendus un peu meilleurs. » ★★★★ – Josée Lapointe, La Presse (Québec)
« S’il cherchait le moyen de se décloisonner de sa façon de faire de la musique, Corriveau l’a trouvé ici. [...] Musicalement, c’est tellement particulier et différent de ce qu’il nous a proposé en carrière. [...] Bref, Corriveau commence à être frustrant. Il est incapable de créer une œuvre « ordinaire ». C’est lassant à la longue. Avez-vous dit top de fin d’année? » 8,5/10 - Louis-Philippe Labrèche, Le Canal Auditif (Québec)
« Dès le premier titre, l’auteur-compositeur-interprète québécois donne le ton et nous surprend par ses nouvelles chansons lumineuses et dynamiques, tranchant partiellement avec ses productions passées. »- Francofans (France)
« On découvre ce nouvel opus à la façon d’un roadtrip auditif, servi d’une voix grave et nonchalante, mais aussi sinueux, mystérieux et tout spécialement addictif. Oui, cet album ne ressemble vraiment à rien et on aime ça. » - Le Soir (Belgique)
La graine de PISSENLIT, son quatrième album en carrière a ainsi été plantée au bout de la route 138 « pendant une résidence d’écriture à Natashquan. J’y suis monté tout seul. » Traverser le Québec du sud au nord a provoqué chez lui « une réflexion sur le territoire ». Ces thèmes du mouvement et de son contraire, l’enracinement, sont devenus « une manière de parler de moi à travers le regard que je porte sur le territoire québécois, sur la manière dont il est habité, la manière dont on l’a aménagé au fil du temps et des générations ».
Antoine Corriveau est un artiste à part entière. Débarqué dans le paysage québécois en 2011, c’est en 2014 qu’il marque l’imaginaire avec l’encensé Les Ombres Longues, pour lequel il rafle, par vote du public, le Prix de la chanson SOCAN avec sa pièce Le nouveau vocabulaire. Cette Chose qui cognait au creux de sa poitrine sans vouloir s’arrêter paraît en octobre 2016, et récolte notamment 4 nominations au Gala de l'ADISQ, il figure sur la longue liste du Prix de musique Polaris 2017, se retrouve dans les dix finalistes du Prix Félix Leclerc – et remporte le Prix André « Dédé » Fortin pour l’émergence au Gala de la SPACQ en plus de celui de l’album indie rock de l’année au Gala des GAMIQ 2017. Manifestement la réputation de l’artiste n’est plus à faire. Et si la proposition peut paraître, a priori, nichée, le marché de la grande francophonie suit déjà de près la carrière de Corriveau. À ce titre, soulignons d’ailleurs qu’il figurait parmi les cinq nouvelles voix à surveiller dans Le Point (France) : « On le compare souvent à Bashung. Il est vrai que leurs voix, leurs écritures, leurs allures ne sont pas tout à fait étrangères. » Le EP Feu de forêt paraît sur étiquette Secret City Records en novembre 2019, enchante les critiques en plus de gagner dans la catégorie EP Folk de l’année au GAMIQ 2019. Il récolte quatre étoiles dans La Presse et que des éloges en France et aux États-Unis: « Il demeure, plus que jamais, un authentique trésor. Trésor qu’on a le privilège de côtoyer de son vivant.[...] » (Tsugi), « un rock enivrant et cinématographique » (Brooklyn Vegan).
DATES DE SPECTACLE 30 avril - Saint-Hyacinthe @ Le Zaricot BILLETS 7 mai - Jonquière @ Côté Cour BILLETS 8 mai - Alma @ Café du clocher BILLETS
AntoineCorriveau.com

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