L’album ouvre avec la pièce En paix avec la mort, qui adresse la peur de mourir et dépeint un univers où l’auteur est finalement paisible avec sa propre fatalité, sachant que toute la beauté du monde lui survivra.
L’opus aborde à plusieurs reprises la thématique de l’amour, comme en témoignent les chansons Premier juillet, Mal d’amour, Ta beauté me fait mal ainsi que l’extrait radio Belle Élodie. Belle Élodie est une chanson à saveur punk 80’s, sans répit, qui met en scène dans un aéroport un amour impossible, vécu plus dans le virtuel que dans le réel, raconte Antoine.
La chanson Songe se veut une réflexion sur la quête du bonheur, sur le rythme effréné de la vie, sur la prise de risques : Songe est un constat si simple et pourtant si difficile à atteindre pour quelqu’un dont l’existence est un éternel feu roulant. La sérénité se trouve dans les choses simples et la quiétude appose un baume sur les grands maux du monde, poursuit l’artiste.
La pièce La porte de l’hôpital, quant à elle, Antoine l’explique ainsi : Je crois que l’on voit tous la vie au travers d’un prisme, chacun voit la réalité différemment. Parfois ce prisme peut être embrouillé, poussiéreux, et ça nous empêche de voir toute la beauté du monde et d’y voir clair. J’ai essayé de comprendre pourquoi certains ne voient jamais la lumière au travers de leur prisme.
Junkie a été travaillée pour en faire une pièce énergique à la mesure de celui qui doit combattre les démons de ses dépendances, tandis que Le jusant pose la question suivante : et si on pouvait tout recommencer, tout réparer ?
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En paix avec la mort (extrait)
Premier juillet (extrait)
Songe (extrait)
Junkie (extrait)
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