Omayela est un amoureux des arts dans presque tous les sens du terme. Il aime les supports visuels tels que les romans graphiques et les mangas tout en appréciant les formes d'art basées sur la performance comme la musique et la comédie. Bien qu'il soit fortement inspiré par des artistes légendaires tels que Nina Simone, les Beatles, le Wu-Tang-Clan, Biggie et les influences générales de l'ère moderne du hip-hop, c'est le romantisme d'Omayela qui l'a poussé à se lancer dans la musique.
Ayant récemment rejoint l’équipe d’Indica Records, Omayela présente aujourd’hui Décibel, une de ses rares compositions francophone, remixée avec la collaboration de l’ami de longue date FouKi. Cette chanson fait suite à la sortie de Evil Monsters (Acoustic), paru en janvier via Bandcamp.
Réalisation et montage : Zachary Ayotte
L'artiste travaille actuellement sur un projet intitulé Not All Monsters Do Monstrous Things, dont la sortie est prévue pour 2022. Omayela étant fasciné par l’univers des comic books, l’imagerie visuelle des projets à venir pourrait prendre une forme singulière et fantastique.
On peut aussi comprendre les facettes créatives de l’artiste en visionnant ses séances « Omacappella », dans lesquelles il construit des chansons uniquement à partir de sa voix.
À propos Omayela est créatif par-dessus tout, trouvant des moyens d'incorporer des thèmes et des concepts distincts ainsi qu'une foule de moyens artistiques, ce qui le distingue de ses pairs et attire les gens dans son univers. Cinématique, colorée et polyvalente : ce sont les mots que l'artiste pop/soul montréalais Omayela utilise pour décrire sa musique. De plus, l'incursion d'Omayela dans des mondes oniriques d'horreur et de romance (de sa propre création) a contribué à la création de sa propre marque. Si la musique parle d'elle-même, être un fan d'Omayela, c'est être bien plus qu'un simple auditeur, c'est s'engager dans la totalité de son entité créative.
Écoutez Décibel (Remix) feat. FouKi en cliquant ici.
  
Téléchargement : Pochette (jpg) • Photo de presse (jpg) Crédit: Audrey Alexandrescu

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