Il est un incroyable réalisateur, [Connor Seidel], il sait enregistrer l’organique, il n’y a jamais de couches de trop, c’est juste de la vérité
- Anne Boucher, ICI Première, En direct

(...) un souci du dépouillement, une beauté dans les arrangements de cordes qui valent le détour. On reste minimaliste. Souci du détail, également, la précision des arrangements de cordes, la beauté des flûtes du piano, des chœurs, l’instrumentation en général c’est très bien fait. C’est un disque qui est doux, qui se tient.
- Olivier Robillard Laveau, ICI Musique, Déjeuner en paix

[Connor Seidel] le souhaitait doux et folk, mais aussi complexe et s’écartant des formats radiophoniques de notre époque. C’est réussi! 
- Sarah-Émilie Nault, Journal de Montréal ★★★1⁄2

1969 est un disque hors du temps et des standards de production tels qu’on les connaît aujourd’hui. L’accomplissement d’un tel projet est en soi remarquable et la pandémie que nous vivons valait bien un coup de rétroviseur aussi bien réalisé.
- Claude Côté, Magazine SOCAN

C’est un album plein de douceur, vraiment à écouter. Chaque chanson (...) est un rayon de soleil qui nous caresse le visage doucement.
- Eugénie Lépine-Blondeau, ICI Première, Pénélope

C’est un voyage très agréable avec des artistes d’aujourd’hui, mais dans une ambiance sonore très douce, parfois même sensuelle. C’est très fluide d’un artiste à l’autre. Si vous avez envie de voyager, allez-y avec cet album.
- Evelyne Charuest, ICI Première, Samedi et rien d’autre

De façon très assumée, 1969 s’est dessiné comme un projet en marge (...) L’ambiance est folk et discrète. Le tempo incite à la détente. La bossa-nova s’invite parfois, les cordes et les flûtes sont souvent de la partie. Le Treehouse a permis d’enregistrer certaines parties à l’extérieur, laissant les parfaites imperfections des sons de la nature s’immiscer dans l’arrière-plan.
- Marissa Groguhé, La Presse

The album is a beautiful coming together of the Quebec music community (...) including at least four languages (Inuktitut, French, English and Spanish) and giving a rich interpretation of songs inspired by that era. Two buoyant interludes punctuate the tracklist, ending in a dramatic flurry of strings and woodwinds on the third, "Interlude III.
- CBC Music

Les Sœurs Boulay - Pleure pas pour moi
C’est comme si rien n'existait avant ça pis, tout d’un coup, les idées, la créativité, ça a vraiment explosé. Je suis un peu nostalgique de ces années-là, même si je les ai pas vécues.

Jason Bajada - Grande ivresse
Je suis très habitué d’écrire des chansons qui parlent de mes peines, de mes angoisses. Ça m’a permis d’explorer une histoire qui est externe à moi.

Matt Holubowski - Vers la beauté
En ce moment, je suis dans ce mode-là, je suis en train d’écrire des chansons surtout parce que c’est beau pis ça fait du bien.

Philippe Breault et Joseph Mihalcean - Interludes
Il y a une sorte de remontée de la musique instrumentale en général. On dirait que ça me fait tellement du bien de me pencher sur quelque chose qui n’a pas de structure couplet-refrain, c’est super rafraîchissant. Ça fait voir la musique complètement d’une autre façon.

The album is a beautiful coming together of the Quebec music community (...) including at least four languages (Inuktitut, French, English and Spanish) and giving a rich interpretation of songs inspired by that era. Two buoyant interludes punctuate the tracklist, ending in a dramatic flurry of strings and woodwinds on the third, "Interlude III.
- CBC Music

Il est un incroyable réalisateur, [Connor Seidel], il sait enregistrer l’organique, il n’y a jamais de couches de trop, c’est juste de la vérité
- Anne Boucher, ICI Première, En direct

(...) un souci du dépouillement, une beauté dans les arrangements de cordes qui valent le détour. On reste minimaliste. Souci du détail, également, la précision des arrangements de cordes, la beauté des flûtes du piano, des chœurs, l’instrumentation en général c’est très bien fait. C’est un disque qui est doux, qui se tient.
- Olivier Robillard Laveau, ICI Musique, Déjeuner en paix

[Connor Seidel] le souhaitait doux et folk, mais aussi complexe et s’écartant des formats radiophoniques de notre époque. C’est réussi! 
- Sarah-Émilie Nault, Journal de Montréal ★★★1⁄2

1969 est un disque hors du temps et des standards de production tels qu’on les connaît aujourd’hui. L’accomplissement d’un tel projet est en soi remarquable et la pandémie que nous vivons valait bien un coup de rétroviseur aussi bien réalisé.
- Claude Côté, Magazine SOCAN

C’est un album plein de douceur, vraiment à écouter. Chaque chanson (...) est un rayon de soleil qui nous caresse le visage doucement.
- Eugénie Lépine-Blondeau, ICI Première, Pénélope

C’est un voyage très agréable avec des artistes d’aujourd’hui, mais dans une ambiance sonore très douce, parfois même sensuelle. C’est très fluide d’un artiste à l’autre. Si vous avez envie de voyager, allez-y avec cet album.
- Evelyne Charuest, ICI Première, Samedi et rien d’autre

De façon très assumée, 1969 s’est dessiné comme un projet en marge (...) L’ambiance est folk et discrète. Le tempo incite à la détente. La bossa-nova s’invite parfois, les cordes et les flûtes sont souvent de la partie. Le Treehouse a permis d’enregistrer certaines parties à l’extérieur, laissant les parfaites imperfections des sons de la nature s’immiscer dans l’arrière-plan.
- Marissa Groguhé, La Presse